26 octobre 2011
L'arrêt nié des villes
Elle tisse n'importe où dans nos cités, colonise inconsidérément de nouveaux espaces. Sous ses différentes formes mutantes, elle prolifère à une vitesse vertigineuse et sur des volumes de plus en plus imposants. Eternelle vorace elle capture dans sa toile tout ce qui passe à sa portée et ne se prive pas d'avaler goulument la lumière, et ...
... ici le soleil, ...
... là les nuages.
Derrière ces vitres ... des humains qu'elle digère rapidement et recrache une fois ceux-ci vidés de leur énergie.
Arachno-urbanisation, telle est son nom !
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